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 [RTW]Origine des nations de Rome Total War

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MessageSujet: [RTW]Origine des nations de Rome Total War   [RTW]Origine des nations de Rome Total War Icon_minitimeMer 31 Jan - 9:09

Voila donc j'ai pensé que ca serais bien de savoir d'ou viennent les nations de rome, est ce que le jeux les rend fidelement ou les change pour en donner un autre aspect :

Sommaire :

- Les Gaulois
- Les Scythes
- Les Carthaginois
- Les Grecques
- Les Macédoniens
--> L'armée Macédonienne
- Les Romains
--> Les Légions Romaines

Par [CdC]Chevalier_Vlad.


Dernière édition par le Mer 31 Jan - 10:36, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [RTW]Origine des nations de Rome Total War   [RTW]Origine des nations de Rome Total War Icon_minitimeMer 31 Jan - 9:09

Les Gaulois



(on va commencé par nos ancetre quand meme ^^):
Les débuts de l'époque gauloise sont difficiles à dater et varient selon les régions et la chronologie considérées. Il est communément admis que la civilisation gauloise s'épanouit avec La Tène, c'est-à-dire au deuxième âge du fer, vers le Ve siècle av. J.-C..
À l’origine, les Celtes, ou encore leurs prédécesseurs ont pu peupler l’Europe centrale. Vers -500, ils auraient commencé à émigrer vers le nord-ouest pour constituer, deux cents ans plus tard, une partie importante de la population des différentes régions de la Gaule. Enfin, ils auraient commencé d'importantes migrations vers l'Italie et vers l'est de l'Europe à la fin du Ve siècle.

À l'époque de la conquête par Rome de la Gaule chevelue, si les territoires des Celtes s'étaient considérablement réduits, ces derniers conservaient néanmoins des liens entre eux de la Bohême jusqu'à l'île de Bretagne, comme l'indique la présence de témoignages archéologiques danubiens parmi les guerriers de Vercingétorix ou encore, les liens importants entre les peuples belges du nord de la Gaule et ceux de la Tamise.

Apres ya eu l'invasion de la Gaule par les romain :
Il y a eu plusieur campagne en Gaule
La première campagne
Elle débute en 58 av. JC. Pendant cette campagne, César s'évertue à repousser les Helvètes et les Suèves avec l'aide des peuples gaulois alliés dont font partie les Eduens. Cette intervention de César marque le début de la guerre des Gaules.

les conséquences.
Création d'une cité supplémentaire en Gaule chevelue par l'installation forcée du peuple des Boïens, avec fondation de nouveaux oppida appelés en -52 Noviodunum par César dont Gorgobina (la boïenne).
César rattrape les Helvètes dure bataille durant toute la journée les femmes helvètes se joignent au combat l'armée romaine passe 3 jours à soigner ses blessés et à enterrer ses morts

Géographiquement, la Gaule romaine recouvre la France actuelle - exceptés le midi et la vallée du Rhône qui, regroupés dans la province Narbonnaise, étaient considérés comme faisant partie de la patrie romaine (et non pas de l'Empire romain), c'est-à-dire de l'Italie romaine - et une grande partie des Belgique et Suisse actuelles.

La Gaule romaine a joué un rôle important dans l'Empire romain, car plaque tournante du commerce européen, voie d'accès fluviale et terrestre à l'Europe du Nord et à l'Angleterre - alors appelée la Bretagne -, lieu d'origine de l'empereur romain Claude - appelé le Gaulois par ses détracteurs, fils de Germanicus, général romain, héros des guerres germaniques -, et même dernier rempart de l'empire, lorsque les Gallo-Romains ont créé le temporaire Empire romain de Gaule, à l'occasion des premières invasions barbares, afin de protéger Rome et de sauvegarder l'Empire.
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MessageSujet: Re: [RTW]Origine des nations de Rome Total War   [RTW]Origine des nations de Rome Total War Icon_minitimeMer 31 Jan - 9:12

Les Scythes


- du grec Skùthai - sont un ensemble de peuples nomades, dont l'identité exacte est difficile à établir, mais qui sont probablement des peuples turcs originaires du Turkestan et de la Sibérie occidentale

Pendant huit-cent ou mille ans, du VIIe siècle avant notre ère jusqu'aux invasions hunniques, au IVe siècle, ce sont néanmoins des « peuples scythiques » (Iaroslav Lebedynsky, voir « Bibliographie ») qui ont occupé l'immense steppe entre l'Altaï et le nord de la Mer Noire.

Il faut distinguer parmi eux :

les Scythes proprement dits, « Scythes d'Europe » ou « Scythes royaux », ceux que mentionnent Hérodote.
les peuples qui leurs succèdent à partir du IIe siècle avant notre ère : Sarmates ou Sauromates et Alains, que certains historiens, toutefois, se refusent à compter comme des Scythes.
les peuples d'Asie, Saces ou « Scythes orientaux », contemporains des Scythes connus par Hérodote qui nous sont connus par les sources assyriennes, perses et indiennes.
d'autres peuples, connus par des sources chinoises ou indiennes, dont la parenté ethnoculturelle avec les « Scythes d'Europe » ou avec les Scythes de l'Altaï est moins évidente au fur et à mesure que l'on s'avance dans le temps et vers l'orient. Ce sont les Massagètes, Wusun, Yuezhi et Kangju. Iaroslav Lebedynsky, un spécialiste des cultures guerrières de la steppe et du Caucase, les assimile à des peuples scythiques.
Ceux-ci étaient soumis à la tribu des « Scythes royaux » et seraient venus d'Asie, selon Hérodote. Chassant les Cimmériens devant eux, les Scythes atteignent l'Assyrie, où ils s'engagent comme mercenaires du roi Assurbanipal (-669 à -626). S'alliant ensuite aux Mèdes, les Scythes pillent la Mésopotamie et la Palestine. Ils sont établis au sud de l'Ukraine au début du VIe siècle avant notre ère.

Toujours selon Hérodote, ils repoussent en -513 les Perses de Darius et développent des rapports souvent tendus avec les Grecs. Au IVe siècle, les Scythes se trouvent pris entre les Sarmates ou Sauromates, un autre peuple des steppes venu d'Asie à l'est, et les Macédoniens à l'ouest. Au deuxième siècle, les Scythes, que les Sarmates ont repoussé en Crimée, sont quasiment éliminés par ces derniers. Sédentarisés, ils constituent encore une ethnie distincte au IIe siècle de notre ère.

Leur culture etais original et ressemble a celle des mongols je trouve:
Les peuples scythiques ont diffusé une culture originale, sur laquelle les témoignages archéologiques sont nombreux depuis le XVIIIe siècle. L'orfèvrerie et l'art animalier scythes, en particulier, sont les plus célèbres des arts des peuples de la steppe. En outre, la permanence de certains traits caractéristiques des Scythes chez leurs successeurs dans les steppes est remarquable. On peut citer, par exemple :

l'usage de l'arc,
la passion pour les juments (attestée chez le roi Atéas à l'époque de Philippe de Macédoine dans une anecdote)
les nécropoles princières enterrées très proches chez les Turcs et les Mongols postérieurs.
Ignorant l'écriture, les Scythes ne furent longtemps connus qu'au travers des récits d'Hérodote et d'Hesychius. C'est à la suite de ces derniers que d'autres historiens n'ont pas hésité à étendre le nom de Scythes à d'autres peuplades, soit parce qu'elles étaient soumises aux Scythes, soit parce qu'elles leur avaient succédé dans les mêmes contrées, comme les Goths. Si les « peuples scythiques » n'ont probablement pas créé une civilisation homogène, ils ont en tout cas initié un style dont l'influence a été grande tant géographiquement qu'historiquement.
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MessageSujet: Re: [RTW]Origine des nations de Rome Total War   [RTW]Origine des nations de Rome Total War Icon_minitimeMer 31 Jan - 9:14

Carthaginoise

Carthage fut fondée plus tard, en 814 avant J.-C., par des marins de Tyr, sur une presqu'île entourée de lagunes, au nord de l'actuelle Tunis. Au sommet de sa gloire, la cité compte 700 000 habitants si l'on en croit Strabon, un historien romain du IIe siècle av. J.-C.
Carthage dominait la Méditerranée occidentale par le biais de ses comptoirs en Sicile, en Sardaigne et en Espagne, et par le contrôle qu'elle exerçait sur anciens établissements phéniciens, tels Lixus (actuelle Mauritanie), Mogador (actuelle côte atlantique du Maroc), le port de Gadir (Gadès), (aujourd'hui Cadix en Espagne) et le port d'Utique en Afrique du nord.

Grâce à son monopole du commerce et de la navigation en Méditerranée occidentale, elle jouissait d'un accès total aux métaux, aux hommes et à l'agriculture de régions entières. À l'aube de la première guerre punique, Carthage contrôlait en Afrique du nord un territoire d'environ 73 000 km² et une population de près de quatre millions d'habitants.

La réussite de Carthage s'explique aussi par les prouesses des Carthaginois dans l'agriculture d'Afrique du nord, qui leur procura richesse et développement. Les Carthaginois surent développer les techniques agricoles parmi les plus efficaces de l'Antiquité.

Les Carthaginois, comme leurs ancêtres les Phéniciens, furent de fabuleux commerçants et marins ; l'historien latin Pline l'Ancien écrivait à leur propos : « les Puniques inventèrent le commerce ». Comme Tyr, Carthage fait le négoce des métaux, notamment avec les comptoirs en Hispanie du sud, dans le royaume de Tartessos.

Il est également possible que les Carthaginois aient découvert de nouvelles terres. Une inscription conte le prodigieux voyage du suffète Hannon, qui longea les côtes du continent africain jusqu'au golfe de Guinée avec une flotte de navires carthaginois, et on leur prête d'autres périples comme celui d'Himilcon vers la Grande-Bretagne.

On peut l'expliquer par la recherche de nouveaux débouchés commerciaux ; le métal de Grande-Bretagne (dont le débouché méditerranéen était tenus par les grecs de Massalia (Marseille maintenant), l'or et autres matières premières d'Afrique Noire
Leure maîtrise des mers pourrait s'expliquer par leure maîtrise des techniques navales. Ainsi, la trirème (galère à 3 rangs superposés de rameurs) serait une invention phénicienne.

C'était en effet de formidables constructeurs de navires. Les bateaux, propulsés par des rameurs et à voile, servirent à construire un empire de la mer, que certains comparent à celui de Venise.


Les guerres puniques
Les affrontements avec Rome prirent de l'ampleur avec l'essor des deux cités : ce furent les trois guerres puniques, qui faillirent voir la prise de Rome par Carthage, mais se conclut finalement par la destruction de Carthage.

Une série de trois conflits entre les deux puissances, les guerres puniques, débutèrent au IIIe siècle av. J.-C. et se terminèrent avec la victoire de Rome et la destruction de Carthage en 146, après un siège de trois ans.

Première guerre punique : le choc frontal avec Rome

La première guerre punique couvre les années 264-241 av. J.-C.. Il s'agit d'un conflit essentiellement naval, de luttes d'influence en Sicile, terre située à mi-chemin entre Rome et Carthage.

Les Carthaginois prennent la ville de Messine. Ceci provoque l'inquiétude des Romains en raison de la position de Messine proche des villes grecques d'Italie qui venait de tomber sous leur protection. Le sénat ne souhaitait pas ouvrir les hostilités avec Carthage, mais le peuple demanda d'intervenir. Ainsi Appius Clodius Caudex traversa et prit par surprise la garnison punique de Messine declenchant le début de la première guerre punique. Suite à ce revers la gouvernement de Carthage commence à regrouper ses troupes à Agrigente, mais les Romains mené par Claudius et Marcus Valerius Messalla prennent les villes de Ségeste et d'Agrigente après un siège de 7 mois.

L'expansion rapide des Carthaginois dans le Sud de l'Hispanie, s'effectue sous la conduites des Barcides (famille des Barca, dont Hannibal). Ils y exploitaient des mines et redonnèrent à Carthage sa puissance économique et commerciale.

Deuxième guerre punique : campagne d'Italie


HannibalLa Deuxième guerre punique dans les années 218-202 av. J.-C. a pour point d'orgue la campagne d'Italie : Hannibal traverse les Alpes (avec ses éléphants) mais renonce à entrer dans Rome. Le prétexte de la guerre avait été le siège de Sagonte par les Puniques, qui selon le traité de 241 était au-delà de la rivière (Ebre) délimitant les zones d'influence respectives des deux puissances rivales.

Sous la conduite d'Hannibal, les troupes carthaginoises, parties d'Hispanie, traversent les Pyrénées et les Alpes et envahissent l'Italie. Se contentant de sa victoire, il renonça à entrer dans Rome. Ceci permit aux Romains de contre-attaquer et ils réussirent finalement à retourner le cours de la guerre en leur faveur (Bataille de Zama, -202), prenant à Carthage la totalité de ses possessions hispaniques, détruisant sa flotte et lui interdisant toute remilitarisation sans l'aval de Rome.

Delenda est Carthago Malgré la victoire finale, cette guerre marqua profondément les Romains, et poussés par la crainte d'avoir à affronter à nouveau les Puniques, ils décident, selon le fameux mot de Caton (Delenda est Carthago), que la destruction totale de Carthage était le seul moyen d'assurer la sécurité de la nation romaine. En effet, malgré toutes les représailles infligées à Carthage, la cité punique retrouva vite sa puissance économique.

Troisième guerre punique : destruction de Carthage

Ruines de CarthageLa Troisième guerre punique (149 - 146 av. J.-C.) est déclenchée par une offensive romaine en Afrique qui aboutit à la défaite et à la destruction de Carthage, après un siège de trois ans.

Bien que Carthage ait retrouvé une certaine prospérité économique entre 200 et 149, elle n'avait pu reconstituer ni une flotte de guerre ni une armée d'importance. Cette guerre décidée par le Sénat romain consista donc en une courte campagne destinée à amener les troupes romaines à pied d'œuvre pour le siège de Carthage, qui dura trois ans, et fut mené à bien par Publius Cornelius Scipio, surnommé pour cela le second Africain. Le siège s'acheva en -146 par la destruction complète de la ville : elle fut rasée et la croyance populaire (contestée par les historiens) veut que du sel ait été semé sur les terres pour les rendre infertiles, par crainte de la résurrection de la puissance de Carthage
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MessageSujet: Re: [RTW]Origine des nations de Rome Total War   [RTW]Origine des nations de Rome Total War Icon_minitimeMer 31 Jan - 9:14

Grecques


Préhistoire
Au VIIe millénaire av. J.-C., des traces révèlent l'apparition de bergers et d'agriculteurs cultivant notamment la vigne et l'olivier.
(ce sont les bases de cette civilisation )

Début de civilisation
Avec l'arrivée des guerriers indo-européens (Achéens notamment) qui arrivèrent du Nord, aux IIIe et IIe millénaire av. J.-C., se développe une société plus complexe, plus hiérarchisée. L'usage du métal se répand, et l'on découvre également de nouvelles techniques de navigation et d'agriculture. Les Indo-européens importent enfin leur langue et l'habitude de fortifier leurs villages.

Alors apparue la civilisation mycénienne

Civilisation mycénienne
Au XVIe siècle av. J.-C. se développe la civilisation mycénienne, caractérisée par des fortifications de grande taille entourant des cités situées en hauteur telles Mycènes ou Tyrinthe et dont il reste encore aujourd'hui de nombreux vestiges. Ces guerriers sont responsables de la destruction de Troie, (cf. l'Iliade). Cette puissance maritime, que l'on retrouve de la Sicile à la Colchide, fonde des colonies, les achaies. Mais les invasions doriennes, vers 1200 av. J.-C., mettent un coup d'arrêt à la splendeur mycénienne, et s'ouvre alors une période que l'on appelle le « Moyen Âge grec », dont il reste assez peu de traces, hormis quelques passages des récits d'Homère ou d'Hésiode.

À partir du IXe siècle av. J.-C., les hommes se regroupent en cités, qui préfigurent les cités-États (voir synœcisme). En 776 av. J.-C. sont organisés les premiers Jeux olympiques, en l'honneur de Zeus, le roi des dieux dans la mythologie grecque. Outre les épreuves sportives, dont la tradition se perpétue aujourd'hui encore, les compétitions portent alors également sur la littérature et la musique. C'est à cette époque que la civilisation grecque recommence à rayonner au-delà des rives de la mer Égée.

Apogée d'Athénes : le siècle de Périclès
Les origines d'Athènes et de la plupart des cités grecques n'appartiennent pas à l'histoire, mais à la préhistoire. Les Athéniens se prétendent autochtones mais en réalité la population s'était formée par mélanges et apports successifs. Les premiers habitants sont des Pélasges. Les premiers germes de civilisation arrivent de l'extérieur, notamment une influence mycénienne certaine. Il y eut sans doute invasion par les éléments Doriens, où tout au moins influence, notamment artistique. La population est homogène : il n'y a ni vainqueurs, ni vaincus.

Le groupement primitif se réalise autour du génos, ancêtre commun. Le génos est une communauté où tous les membres vivent sur un domaine qui est propriété collective et inaliénable. La plupart des villages porte le nom du génos d'origine. La position du bourg des Crécopides, dominant la plus riche des plaines de l'Attique, assez proche des voies maritimes, explique qu'Athènes soit devenue la capitale régionale. Les habitants de l'Attique devenaient tous citoyens d'Athènes.

alors arriva les romains!!

Domination romaine
L'alliance, lors de la deuxième guerre punique, de Phillipe de Macédoine avec Carthage fut un coup de couteau pour les Romains. Ces derniers sont appelés à l'aide par Athènes mais aussi par Rhode et par le royaume de Pergame menacé par la Macédoine. C'est une occasion pour Rome d'accroître sa domination. Flamininus le Romain bat Phillipe aux Cynocéphales et l'oblige à s'allier aux Romains. Puis Flamininus proclame l'indépendance des cités grecques. Mais la tâche est rude. La Macédoine et de nombreuses villes grecques se soulèvent. La révolte à Athènes est matée, Corinthe est détruite et la Grèce devint une province romaine nommée l'Achaie.

Et biensure tt le monde c'est que cette partie de lempire romain deviendras l'empire byzantin bien plus tard mais ca ne fais pas partie de Rome ^^
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MessageSujet: Re: [RTW]Origine des nations de Rome Total War   [RTW]Origine des nations de Rome Total War Icon_minitimeMer 31 Jan - 9:15

Macédoniens



Le Royaume de Macédoine est un État antique de la péninsule balkanique, qui exista entre le milieu du VIIe siècle av. J.-C. et 168 av. J.-C.

Avec Alexandre le Grand, il fut à l'origine de l'expansion de l'hellénisme en Asie à la fin du IVe siècle av. J.-C. Son territoire correspond aujourd'hui à la République de Macédoine, une partie de la Grèce, de l'Albanie et de la Bulgarie

Le règne de Philippe II : la soumission de la Grèce
En 359 av. J.-C., Perdiccas III, roi de Macédoine, meurt laissant pour héritier un enfant en bas âge, Amyntas, qui est proclamé roi, tandis que la régence et la tutelle sont confiées à Philippe frère du défunt. Dès le début de sa régence, il est aux prises avec des voisins menacant, les Illyriens, les Péoniens et les Thraces dont il viendra à bout assez rapidement

Institutions
L'organisation politique du royaume de Macédoine est une pyramide à trois degrés : au sommet, le Roi et la Communauté des Macédoniens, à la base, les unité civiques (cités et ethnè), entre les deux, les districts. L'étude de ces différentes institutions a été considérablement renouvelée par l'épigraphie, qui a permis de réinterpréter les indications données par les sources littéraires telles que Tite-Live ou Polybe. Elle montre que les institutions macédoniennes en font un État très proche des États fédéraux grecs, tels que la Ligue thessalienne ou la Ligue étolienne, mais avec un principe unitaire renforcé en la personne du roi.

Le Roi (basileus) et l'administration centrale
Le Roi est le chef de l'administration centrale : il dirige le royaume depuis sa capitale de Pella et son palais où sont conservées les archives du royaume. Il est secondé par un secrétaire royal (basilikos grammateus), dont le rôle est primordial, et par le Conseil. Le Roi est le chef de l'armée, le chef de la religion macédonienne, il dirige la diplomatie, lui seul est habilité à conclure des traités, il a le privilège exclusif de la frappe monétaire jusque sous Philippe V.

Le nombre de fonctionnaires est limité : le Roi dirige son royaume largement de façon indirecte, en s'appuyant sur des magistrats locaux, les épistates, avec lequel il entretient une correspondance importante

Succession
La succession royale en Macédoine est héréditaire, masculine, patrilinéaire, et respecte en général le principe de primogéniture. Elle comporte de surcroît un élément électif : à la mort du roi, son héritier désigné, en général donc mais pas systématiquement, le fils aîné, doit d'abord être accepté comme le successeur par le conseil, puis présenté à l'assemblée commune pour y être acclamé comme le nouveau roi. Cette assemblée prête ensuite immédiatement serment de fidélité à son nouveau roi, et pour cette raison doit se réunir en séance plénière, de peur qu'une assemblée concurrente n'élise un autre prétendant.

La succession est donc loin d'être automatique, d'autant plus que les rois de Macédoine disparaissent souvent brutalement, avant même d'avoir pu prendre les dispositions nécessaires pour leur succession, ou s'assurer qu'elles sont respectées : c'est le cas de Perdiccas III tué par les Illyriens, de Philippe II assassiné par Pausanias, d'Alexandre III emporté soudainement par la maladie, de Lysimaque tué à Couropédion, etc. Les crises successorales sont donc fréquentes, surtout au IVe siècle, lorsque les grandes familles princières de Haute-Macédoine (de Lyncestide et d'Orestide notamment) ont encore l'ambition de renverser la dynastie argéade pour s'imposer sur le trône de Macédoine

Finances
Le roi est le simple gardien et administrateur du trésor de Macédoine et des revenus royaux (basilika) qui appartiennent aux Macédoniens : les tributs prévus dans les traités accordés aux peuples vaincus sont ainsi dus aux Macédoniens et non au roi. Même s'il n'a pas de comptes à rendre de la gestion de ce patrimoine, il peut s'en sentir suffisamment moralement responsable pour la défendre en certaines circonstances. Ainsi Alexandre dans son discours lors de la rebellion d'Opis (Arrien, Anabase) en 324 détaille les possessions de son père Philippe II à sa mort pour montrer qu'il n'a pas abusé de sa charge.

D'après Tite-Live comme d'après Polybe, les basilika comprennent les sources de revenus suivantes :

Les mines de métaux précieux (or et argent du Pangée par ex.), dont le roi a le monopole, ce qui lui permet de frapper monnaie, un privilège exclusif qu'il conserve jusqu'au règne de Philippe V. Ce dernier concède aux cités et aux districts le droit de battre monnaie, pour les dénominations les plus faibles (bronze).
Les forêts, dont le bois de charpente est très prisé par les cités grecques pour construire leurs navires : Athènes passe ainsi des accords avec la Macédoine dès le Ve siècle av. J.-C. pour importer le bois indispensable à la construction et à l'entretien de sa flotte de guerre.
Les propriétés foncières royales, terres que le roi a annexées au domaine royal lors de la conquête, et qu'il exploite soit directement, notamment grâce à une main d'œuvre servile composée de prisonniers, soit indirectement par un système d'affermage.
Les taxes portuaires sur le commerce (taxes d'importation et d'exportation).
Le mode d'exploitation de ces différents revenus est le plus souvent l'affermage : on sait par le Pseudo-Aristote (Economiques) que le roi Amyntas III (ou peut-être Philippe II) doubla les revenus du royaume provenant des ports grâce à l'aide de Callistratos, alors réfugié en Macédoine, qui fit passer le produit de cette ferme de 20 à 40 talents par an. Les taxes portuaires étaient ainsi mises aux enchères chaque année. On sait par Tite-Live, d'autre part, que les mines et les forêts étaient affermées pour une somme fixe sous le règne de Philippe V, et tout laisse penser qu'il en était de même avant lui sous les Argéades : ce pourrait être l'origine du système d'affermage introduit en Égypte lagide.

Hormis la terre royale soumise au tribut, la terre en Macédoine est libre : les Macédoniens sont des hommes libres et ne paient pas de taxes sur les terres privées. Il n'y a pas non plus en Macédoine d'impôt extraordinaire en temps de guerre, du type de l'eisphora athénienne. Même lorsqu'il se trouve en situation financière périlleuse, comme Alexandre en 334 ou Persée en 168, le roi n'a pas recours à l'impôt mais lève des fonds en empruntant, notamment à ses Compagnons, ou en augmentant le produit de l'affermage.

Le roi peut accorder l'atélie, un privilège d'exemption fiscale, comme Alexandre aux familles des morts macédoniens de la bataille du Granique en mai 334 : elles sont exemptées de tribut sur la terre royale — ce qui ne devait pas être négligeable, car beaucoup des morts appartenaient à la cavalerie des Compagnons et avaient donc dû recevoir du roi des donations sur les terres royales — des liturgies civiques dues à des règlements royaux (comme les réquisitions de bêtes de somme ou les taxes pour la réfection des routes), des taxes commerciales.

Une source importante de revenus extraordinaires provient du butin de guerre, qui est partagé entre le roi et ses hommes. À l'époque de Philippe II et d'Alexandre, c'est bien entendu une source de revenus considérable. Une partie importante des objets en métaux précieux saisis lors des campagnes européennes et asiatiques sont fondus en lingots et envoyés ensuite aux ateliers monétaires de Pella et d'Amphipolis, les plus actifs du royaume à cette époque : on estime ainsi qu'en 18 ans sous le règne d'Alexandre l'atelier d'Amphipolis frappa environ 13 millions de tétradrachmes d'argent.

L'Assemblée (koinê ekklesia ou koinon Makedonôn)L'ensemble des soldats-citoyens du royaume se réunissent dans une assemblée populaire, qui se tient au moins deux fois par an, au printemps et en automne, à l'ouverture et à la fermeture de la saison militaire.

Cette Assemblée de l’armée en temps de guerre, assemblée du peuple en temps de paix, est convoquée par le roi et joue un rôle important pour l’acclamation des rois et les procès capitaux ; elle peut être consultée (sans obligation) pour la politique étrangère (déclarations de guerre, traités) et la nomination d'administrateurs importants. Dans la plupart de ces occasions, l’Assemblée ne fait que ratifier les propositions d’un corps plus réduit, le Conseil (voir infra).

C’est aussi l’Assemblée qui vote les honneurs, accorde les décrets de proxénie et d’asylie, envoie des ambassades, au cours de ses deux réunions annuelles.

Elle est supprimée par les Romains lors de leur réorganisation de la Macédoine en 167, pour éviter, selon Tite-Live, qu'un démagogue ne puisse s'en servir comme d'un instrument de révolte contre leur autorité.

Le Conseil (synedrion)
Le Conseil est un groupe restreint de personnalités importantes du royaume, choisies et réunies par le roi pour le seconder dans le gouvernement. Ce n'est donc pas une assemblée représentative, mais il peut être élargi en certaines occasions à des représentants des cités et unités civiques du royaume.

Les membres du Conseil (synedroi) appartiennent à trois catégories :

Les sômatophylaques (en grec littéralement « les gardes du corps ») sont des nobles macédoniens choisis par le roi, au nombre de sept sous le règne d'Alexandre, pour lui servir de gardes du corps honorifiques, mais surtout de plus proches conseillers. C'est un titre honorifique particulièrement prestigieux.
Les Amis (philoi) ou les Compagnons royaux (basilikoi hétairoi) sont nommés à vie par le roi dans la haute noblesse macédonienne.
Les généraux principaux de l'armée (hégémones tôn taxéôn) également nommés par le roi.
Le roi a moins de latitude que les apparences ne pourraient le laisser penser sur la composition du Conseil, car beaucoup de membres de la haute aristocratie du royaume en sont membres de droits ex officio.

Le Conseil exerce essentiellement une fonction probouleutique vis-à-vis de l'Assemblée : il élabore et propose les décisions qu'elle doit ensuite discuter et voter, dans de nombreux domaines tels que la désignation des rois et régents, mais aussi des grands administrateurs, les déclarations de guerre. C'est le Conseil qui mène l'instruction judiciaire des procès capitaux. Il est aussi la première et la dernière instance pour tous les cas qui n'entraînent pas la peine capitale.

Le Conseil se réunit fréquemment et constitue le principal organe de gouvernement. Toute décision importante du roi y fait d'abord l'objet d'une délibération.

À l'intérieur du Conseil règnent les principes démocratiques d'iségoria (égalité de parole) et de parrhèsia (liberté de prise de parole), auxquels le roi se soumet comme les autres membres.

Après la destruction de la monarchie antigonide par les Romains en 167, il est possible que le synedrion ait subsisté, contrairement à l'Assemblée, et soit demeuré ainsi la seule instance fédérale de la Macédoine divisée en quatre mérides.

Les districts régionaux (mérides)
La création d'un échelon administratif territorial intermédiaire entre le pouvoir central et les cités doit probablement être attribuée à Philippe II : cette réforme correspond à la nécessité d'adapter les institutions politiques à l'extension considérable du royaume sous son règne. Il n'est alors plus possible de réunir facilement l'ensemble des Macédoniens dans une seule assemblée primaire, et la création de quatre districts régionaux chacun pourvu d'une telle assemblée est très probablement la réponse apportée à ce problème. Il ne s'agit pas de divisions territoriales recoupant des groupes tribaux, mais d'un découpage administratif artificiel. Néanmoins, il faut souligner que l'existence de ces districts n'est réellement attestée (par la numismatique) qu'à partir du début du IIe siècle av. J.-C..

Les districts sont les suivants à l'époque antigonide, où leur numéro d'ordre est fourni par la numismatique :

Première méris : Amphipolis ou la Parastrymonia et Paroreia. Le district tient son nom de la seule cité à faire une contribution à la levée nationale macédonienne à la fin du Ve siècle av. J.-C.. Ses habitants non hellénisés sont recrutés dans des unités distinctes, dites de Bisaltiens, tandis que les recrues d'Amphipolis, Philippes et Oesymé intègrent la phalange. C'est la politique des rois macédoniens de ne pas mélanger les soldats hellénophones avec les Macédoniens au sein des unités.
Seconde méris : Amphaxitide. Elle a pour frontière l'Axios l'Ouest et le Strymon à l'Est ; la capitale en est Thessalonique.
Troisième méris : Bottiée. Elle correspond à la Piérie et à l'Émathie, le cœur du royaume macédonien historique, ainsi qu'à la région littorale comprise entre l'Axios et le Pénéios ; la capitale en est Pella.
Quatrième méris : Haute-Macédoine. Elle rassemble la Lyncestide, la Tymphée, l'Atintanie. L'Orestide sort très tôt du royaume proprement dit ; à l'époque romaine, la capitale en est Pelagonia.
La première fonction de ces districts est de servir de base territoriale de recrutement pour l'armée.

L'existence d'un monnayage propre à ces districts suppose une autonomie financière et des institutions politiques propres, mal connues. D'après les inscriptions, on peut penser que chaque méris disposait d'une assemblée primaire rassemblant tous les Macédoniens de la région, et élisait annuellement un stratégos, magistrat éponyme, dont la double fonction était de représenter l'assemblée et le pouvoir central (notamment en matière militaire).

Ces assemblées ont continué d'exister à l'époque romaine, où elles sont même devenues les principales assemblées primaires de Macédoine, après la suppression de l'Assemblée commune.

Les cités
La participation des cités aux fêtes panhelléniques, les dédicaces qu'elles font dans les sanctuaires supposent qu'elles disposent de revenus civiques propres importants. L'épigraphie témoigne à ce sujet de l'existence d'une administration spécialisée dirigée par des magistrats particuliers, les tamiai (trésoriers). La numismatique montre qu'à partir du règne de Philippe V, ces cités peuvent frapper monnaie. Pour autant on ignore tout de la nature des revenus qui autorisent ces activités : les inscriptions renseignent davantage sur ce que les cités ne peuvent considérer comme leurs revenus (par exemple les interdits d'aliénation de revenus sacrés) que sur leurs ressources. On sait cependant par une inscription très importante que la cité alliée de Philippes (dont le statut est donc particulier) percevait une taxe de 2% sur la valeur des ventes foncières : il s'agit là d'un exemple possible des revenus civiques.
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